NocturnalRed

Bonsoir,
Je m'apelle Angèle ou Nino pour les intimes
J'ai 18 ans
De Paris
Ce que je déteste par dessus tout, c'est la connerie humaine et les araignées^^
Mes qualités: A l'écoute des autres, sensible....mais difficile de s'évaluer soi-même....
Mes défauts: Un peu trop nerveuse et inquiète par moments, plus une certaine tendance à vivre en "ermite" parfois....
Jouez-vous d'un instrument de musique?: Non hélas.... Mais je chante depuis 11 ans.
Mais pour mieu me connaitre voici petit texte pour me resumé en quelques vers...
Telle une petite fille regardant avec une douceur attentive le milieu des feuilles, le vent qui passe et murmure
entres les branches au fond des jardins!
J'étais imbibée d'une fibre poétique qui tissait mes souvenirs et mes voeux futurs !!
Je m'y forçais pour faire calmer le temps et demeurer ainsi
jusqu'a la porte de l'éternité !
A l'intérieur, juste à coté du coeur, un rêve palpitait parfois de toute son ampleur,
mais une main se posa brusque et froide sur mes lèvres
fiévreuses et abandonnées.
Quel bien être cela me faisait, de ne plus avoir à cacher larmes et vérités,
de lancer mon regard vers le plus loin des horizons, vers la volonté
d'aimer sans limites comme on aime un regret ! Un regret qui naît d'un
soupir, d'une joie difficile ou d'un bonheur avorté !
Telle une petite fille écoutant sans comprendre, les fleurs qui parlent; les
étoiles qui défilent, et les nuages qui sourient !!
Un voile opaque
couvrait de temps à autre mes yeux faisant de moi la femme dénudée de
liberté. La chaîne en cristal qui ligotait mes pieds faisait plus de bruit
que de cicatrices mais m'empêchait tout de même d'avancer ...
Je courais, je courais, vers une ouverture dans la brume fuyant un vide
intime qui interdisait le partage, rampant jusqu'a perdre connaissance...
Vers un frisson, une respiration, ou une odeur que tout mon corps
reconnaîtra !!!
Un rire aigu, ironique me bourdonnait les oreilles, est-ce au comptant
qu'il faut payer ? Est-ce maintenant qu'il faut passer aux aveux, et estce
devant tous ces arbres que je suis obligée de jurer ?
La nuit, le silence, la petite fille dormait, fermant derrière elle le ciel à
double tour ne laissant qu'une petite passerelle à peine entrouverte
permettant à l'air de pouvoir passer ...